Saturday, July 16, 2011

Tuesday, March 22, 2011

Je déteste les Sén-NOT-eurs

Tout en écrivant ce post de blogue, je regarde un match de hockey entre les Canadiens de Montréal et les Sabres de Buffalo (le match des Leafs de ce soir ne m'est pas disponible, car je n'abonne pas à  "Leafs TV").

Quand je regarde les Habs, je préfère les regarder en français sur les ondes de RDS, afin de pratiquer mon français à l'écoute (avec lequel j'ai toujours de misère!).

Auparavant, comme partisan des Leafs (qui n'ont pas encore gagné la Coupe Stanley durant ma vie), j'avais détesté les Canadiens, l'ennemi naturel des Leafs.  Mais de nos jours, la haine qui m'avais préoccupé durant toute ma jeunesse n'existe plus presque.  La raison?  L'apparence des méchants Sen-NOT-eurs d'Ottawa.

J'étais étudiant de l'université Carleton quand on a fait l'annonce que les villes d'Ottawa et de Tampa en Floride auraient des nouvelles équipes de LNH.  La ville qui n'a pas réussi à remporter d'équipe?  Hamilton.  Tandis que tous mes amis étaient bien contents de la décision de la ligue nationale, moi, j'étais tellement déçu.  J'ai décidé cette journée là la nouvelle équipe porterait le nom "Sén-NOT-eurs" pour toujours.  J'ai écrit des lettres aux journaux pour lancer mes critiques et insultes envers les Sen-NOT-eurs.  Je l'ai même écrit sur une affiche qui se trouvait sur le mur de mon bureau du Vice-President du conseil d'étudiant à Carleton.  Depuis 1990, je suis l'ennemi le plus pire des Sén-NOT-eurs.

Aujourd-hui, le club-école des Canadiens se trouve à Hamilton, les Bulldogs.  Beaucoup de joueurs à présent avec les Canadiens ont commencé leurs carrières professionnelles avec les Bulldogs, y compris Tomasz Plekanec, Andrei Kostitsyn et PK Subban.  Et il n'y pas assez d'éspace pour la haine de deux équipes, donc les Canadiens sont devenus une équipe à laquelle je deviens partisan lors des séries, une fois que les Leafs ratent d'y arriver.  Je garde tout la haine pour les Sén-NOT-eurs détestés!

Wednesday, March 2, 2011

Ceci tuera cela

Ceci tuera cela.  Voilà le nom simple du deuxième chapitre du "Livre cinquième" de Notre-Dame de Paris,  le roman de Victor Hugo.

Il s'agit de sa commentaire que, à l'époque de l'intrigue (de Quasimodo, Esmerelda, Claude Frollo, etc.) c'est l'imprimerie qui remplaçait l'architecture comme mode d'expression de la pensée humaine.

Hugo, critique des "démolisseurs" de l'architecture traditionnelle, ne laisse aucun occasion de s'exprimer sur plusieurs thèmes, soit dans cet oeuvre ou dans son autre pièce de résistance Les Misérables.  Dans le cas de ceci tuera cela, il décrit le passage d'un ère historique important à un autre au sein du développement humain.  Ce vingtaine de pages trace l'histoire de l'architecture et son passage à non-importance dans le cadre des affaires humaines, face au développement des modes d'expression plus efficace, c'est-à-dire l'imprimerie.  Même si l'architecture a passé à un ère plus ouvert vis-à-vis le monolithe chrétien-catholique, c'est l'imprimerie qui aura plus d'influence sur la pensée et l'expression humaine (Martin Luther, par exemple, n'a pas construit de l'église ni d'autre édifice.  Il a fait publié ses 95 thèses.)

Ceci tuera cela.  Y-a-t-il des autres manifestations modernes de cette idée?  Peut-être l'iPod contre le Discman?  Le PVR contre le VCR?  Le iPad contre le Kindle?  Et, faut-il qu'il s'agit toujours de la technologie?  Peut-on espérer que ca sera le vélo contre la voiture?  La tolérance contre le préjugé au sein des orientations sexuelles?  L'éducation flexible contre la salle de classe traditionnelle (sachant, bien-sur, qu'il faudra de la technologie pour le rendre plus efficace).

Que pensez-vous?

Thursday, February 24, 2011

L'avenir de E.S. Parkside


Le conseil scolaire de Hamilton-Wentworth vient d'annoncer, récemment, leur liste d'écoles secondaires qu'il pense à fermer lors des prochaines années. L'école à laquelle je viens de me faire transférer, moi-même, se trouve sur cette liste.

Ce n'est pas une chose qui m'a pris par surpris. Je m'étais bien rendu compte qu'il y aurait eu des telles clôtures, ayant participé au processus "ARC" (Accommodation and Review Committee) chez mon ancienne école, Sir John A. Macdonald.

Je suis content que les étudiants de l'école aient décidé de s'organiser afin non-nécessairement de se disputer contre la recommandation (et il ne reste qu'une recommandation à présent) mais de poser quelques questions auxquelles ils ont droit de réponse.

Avant d'être trop critique envers le conseil scolaire, il faut comprendre et accepter quelques réalités.  D'abord l'inscription aux écoles de notre conseil se reduisent depuis plusieurs années.  C'est à cause non-seulement d'un taux de naissance qui s'abaisse mais aussi des écoles catholiques avec leurs  nouveaux bâtiments construits pendant les dernières 15 ans.  Au niveau publique, c'est-a dire non-cahtholique, on n'a que deux écoles sur seize construites depuis 1970.  Si les parents ont le choix entre une école tout neuve et celle qui est agée de plusieurs décennies, laquelle choirsiraient-ils?  Avec les autres mythes qui prévalent sur les avantages du système catholique (les uniformes, par exemple), ca devient de plus en plus difficile de maintenir les élèves dans le système publique.

Selon les chiffres du conseil,  il y aura plus de 5000 places excédentes à travers les écoles secondaires d'ici à cinq ans.  Il faut fermer au moins 4 ou 5 écoles secondaire afin que le gouvernement provincial leur donne des fonds pour en construire des nouveaux.  Voilà pourquoi on a recommandé la clôture de deux écoles secondaires sur la montagne de l'est: Barton et Sherwood.  Ce n'est pas un grand secret ou le conseil scolaire voudrait constuire une nouvelle école.

En fin de compte, la clôture des écoles seront probablement nécessaire.  Et, comme école la plus petite dans l'agrégat de l'ouest (il y en a trois: l'ouest, le nord et le sud (c'est-a-dire, sur la montagne)), Parkside sera probablement la plus facile à fermer.  On pense à envoyer les élèves qui auriaent assisté à Parkside à trois autres écoles, soient Waterdown (qui est, à présent, plein à craquer), Ancaster (probablement trop loin pour la plupart des élèves à Dundas) et Highland (qui aura certainement besoin de plusieurs "portatifs" pour accomoder les étudiants de Dundas).  Et, à mon avis, le conseil scolaire n'a pas prévu le nombre de familles qui essayeront de faire inscrire leurs enfants à Westdale, une école qui, comme Waterdown, n'a presque aucun éspace pour accomoder plus d'étudiants de Dundas.

Il y avait trois écoles secondaire il y a seulement vingt ans au "village de la vallée".  De nos jours, le conseil scolaire tente de ne la laisser qu'avec seulement une.  Je n'ai pas de réponses à toutes les questions auxquelles le conseil scolaire de Hamilton-Wentworth doit faire face, mais je pense en même temps qu'ils ne les ont pas non plus, et peut-être que leur recommandations soient prématurées.  Sans le vouloir, ils ont presque dirigé le débat à ARC de façon que les membres le regarderait comme "fait accompli" et que le travail des comités ne vaudra pas la peine.